Après avoir filmé des scènes bonnes et d’autres nulles on doit passer à la phase du montage du film.
Retour aux studios... Le but est de passer du film brut qui est dans la camera à un film visible par des tiers.
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Les cameras actuelles permettent à chacun de conserver ses meilleurs souvenirs sous forme de films.
Après avoir filmé des scènes bonnes et d’autres nulles on doit passer à la phase du montage du film. Retour aux studios... Le but est de passer du film brut qui est dans la camera à un film visible par des tiers. |
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Le montage vidéo: Les trois phases principales de la réalisation du montage d’un film numérique sont l’aquisition, le montage proprement dit et la restitution. La troisième étape est la mise en forme finale du film. Dans le cas d’une vidéo sur DVD c’est le DVD gravé. La première partie du document est axée sur le film au format DVD qui est de loin la meilleure solution actuelle pour les vidéos amateurs. Il y a trois phases pour le montage vidéo. Dans l’image ci-dessous, le micro de gauche symbolise l’aquisition vidéo de film DV. Il est déjà possible après cette phase de récupérer des séquences triées et propres sous forme de fichiers AVI courts. C’est le sens du CD jaune. Pour le montage réel du film on passe au micro du milieu où on va réaliser le film complet. Les deux micros sont en fait la même machine et le logiciel est le même pour ces deux phases. La troisième phase consiste à obtenir un rendu du film et graver le DVD qui sera lisible par le lecteur DVD de salon à droite sur l’image. |
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Le logiciel de montage possède trois onglets principaux pour rappeler chacune des phases. Dans le premier onglet c’est l’acquisition des vidéos venant d’une camera.  Dans l’onglet éditeur, il est possible d’intégrer les photos et vidéos d’undossier. Puis dans le 3eme onglet, graver au format DVD. Le tout est réellement très simple. On comprend aisément que ce type de solution aura un engouement de plus en plus important pour les réalisateurs de vidéos amateur.  Avec un logiciel de montage vidéo comme Pinnacle ou Adobe, il est possible d’insérer les vidéos, des photos, des titres, de réaliser très facilement des transitions 2D et 3D entre les séquences du film. Si le besoin est de réaliser film DVD rapidement, le montage vidéo peut se limiter à cette très simple expression. Les réalisateurs avisés ajouteront des effets vidéo, du recadrage et du doublage son. Les plus doués iront jusqu’au trucage de vidéos par fusion de séquences. Ceci est réalisée avec une des deux séquences sur un fond monochrome bleu. Le kromakey est maintenant accessible aux amateurs qui ont du temps. |
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Réalisation d'un film DVD: Pour réaliser un film DVD, une phase de ré encodage des vidéos existantes en MPEG-2 est nécéssaire.  |
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Puis on va créer un menu pour le DVD en insérant des boutons pour permettre à celui qui regardera le film final d’accéder directement à une scéne choisie: c’est l’Authoring l’Authoring est une caractéristique particulière aux DVD. Le format est trop propriètaire pour pouvoir être réutilisé dans un contexte plus général que le DVD. |
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La dernière phase de la création du film est le rendu du film suivi de la gravure sur un DVD. Le format DVD assure la transmission idéale pour les filmsamateurs principalement depuis que chacun possède un lecteur DVD de salon.
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| Pour la visualisation sur la télévision d’éléments multimédias (photos et vidéos) il est possible d’utiliser un boîtier multimédia. Ce dernier sait lire tous les formats (avi, jpg, mpg, mp3…). Il est piloté avec une simple télécommande et va chercher ses informations sur un ordinateur qui assure le rôle de serveur de contenu. |
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| L’ordinateur reste le composant de montage des films et de traitement initial des informations. Le boîtier maillon multimédia est le composant de la convergence numérique entre informatique et télévision. L’évolution de ces boîtiers est permanente. |
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Le DVD est la meilleure solution actuelle de réalisation de films. Cependant à regarder l’expression des nouveaux besoins des utilisateurs du web en matière de vidéo, il semble utile d’ajouter une phase à la réalisation d’un film DVD. Cette phase consiste à réaliser des petitesséquences de films de 30 secondes à 10 minutes.Chaque séquence est un fichier indépendant avec son nom de fichier propre. Cette méthode permet de conserver les séquences vidéos sous forme d’un fichier nommé utilisable par un moteur de recherche. Ces séquences sont immédiatement lisibles par un micro-ordinateur même s’il n’a pas de lecteur de DVD. |
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L’authoring propriétaire du DVD peut-être remplacé judicieusement par une solution de navigation qui n’est pas limitée au seul film DVD.
Content Management System: Pour cela, chaque séquence vidéo est intégrée dans une base de données. Un logiciel de gestion de contenu (CMS Content Management System) doit assurer la conception et de mise à jour dynamique de l’application multimédia sur un site web. Il sépare les opérations de gestion de la forme et du contenu. Ci-dessous des éléments de contenu dont des vidéos. |
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Pour la gestion de la forme, les fonctions ne sont pas disponibles pour les particuliers pour le moment. Il est certain que les logiciels de montage vidéo vont les intégrer progressivement. Le mot film s’efface au profit de Gestion de Contenu Multimédia. Ceci entend la séparation du contenu et du montage. Le contenu c’est : des séquences vidéos, des photos, des textes, de la musique. Le montage est réalisé dynamiquement par du logiciel en fonction du demandeur (celui qui regarde le film). Les requêtes sont réalisées à partir de son navigateur web par l’interface utilisateur générée par le gestionnaire de forme. Note sur les mots: Gestion de contenu ou CMS pour Content Management System. Le but est de retrouver l'information très rapidement via le web. Moins de 2 minutes, ordinateur en réseau allumé. CMS et vidéo: Digital Asset Management (DAM) Allégorie du surfeur de séquences vidéos : 
Une vidéo peut-être réduite afin d'être affichée sur un téléphone portable 3G. Ci-dessous une simulation de ce que cela peut donner sur un iPhone:
Ceux qui approchent dés maintenant la Gestion de Contenus panachent des bouts de solutions et réalisent eux-mêmes l’outil CMS d’ensemble en fonction de leur besoin. On parle ici d’Homo numericus adeptes d’informatique et de vidéos. Le besoin principal constaté fin 2007 est d’avoir une playlist de MP3 ou de clips vidéos. La réalisation du CMS consiste en l’utilisation de codes Javascript associ&eacuté. Sur la vidéo ci-dessous, la Playlist avec toutes les vidéos est à droite de la séquence vidéo. L’interface utilisateur de choix des séquences vidéos est un fichier XML (ce qui est l’authoring pour les DVD).  L’utilisation d’une Playlist n’est pas adaptée à celui qui veut réaliser un film avec de nombreuses séquences vidéos et mixer des photos, des titres, de la musique… Une autre forme de gestion est mieux adaptée à ce besoin. Ci-dessous les séquences vidéos sont avec les photos à leur place normale. Ce que l’on voit ressemble étrangement à l’écran de la phase de montage d’un film. On peut dire aussi que cela ressemble à un menu authoring très complet.  Les vidéos s’insèrent naturellement avec les photos et les autres composants multimédias. En cliquant sur la miniature de la vidéo ou en appuyant sur le bouton Suivante (à gauche) la séquence vidéo est lancée. Sur l’image ci-dessous, on peut constater les différences d’interface avec la Playlist sur la même séquence vidéo. Il faut comprendre que si l’utilisateur lance le film complet en partant de la première miniature, il doit obtenir le même rendu que s’il avait eu un film DVD normal et complet. A l’inverse si l’utilisateur change d’avis sur ce qu’il souhaite regarder, l’interface avec boutons et champs de saisies (à gauche de l’écran) permet d’avoir un autre film. Dans le cas d’un DVD, l’utilisateur doit retrouver le bon DVD quand il change d’avis sur ce qu’il veut voir. Plus difficile encore quand il veut montrer chez des amis 10 secondes de film qu’il possède sur un monument qui est sur un de ses nombreux DVD dans son placard chez lui (dur). Dans la solution qui est présentée; la séquence vidéo ayant le nom du monument, il n’y a qu’à saisir le nom du monument dans la case mot de l’interface et la vidéo apparait chez les amis qui possèdent l’ADSL (que du bonheur). On peut dire que cette solution est un film sous une forme interprétée alors que le DVD est un projet compilé. Le texte parle du travail actif vers un objectif. Il y a aussi des solutions payantes.   La solution que j’utilise actuellement est basée sur: un Serveur web Apache avec l’application CMS et un second serveur web de mon FAI pour le stockage des vidéos, code PHP perso, base de données MySQL, Regard (windows) pour le remplissage automatique de la base de données MySQL, Html et surtout Javascript pour les décors et les titres (du style ce cette page web). Travaillant sur le sujet, les codes javascript liés à et ceux de mon CMS en PHP ne sont pas encore téléchargeables sur le site. Je reste disponible pour les fournir ou aider sur un projet similaire. Les transitions entre deux séquences vidéos sont loin d’être au top pour le moment. Pas de fondu ni autre forme d’enchainement disponible. C’est plutôt de l’attente de la seconde vidéo le temps qu’elle arrive du réseau. Ceci est un sujet à traiter dans l’avenir. Un autre problème video est le rendu dynamique des vidéos en fonction du type d’appelant (ordinateur, console de jeux, téléphone portable 3G ou smartphone…). Ceci n’est pas dans les cartons pour la vidéo même si cela marche bien pour les photos. Ces dernières sont réduites par le serveur (c’est le rendu dynamique) avant de les envoyer sur le réseau et cela en fonction du matériel de l’appelant. Il y a d’autres problèmes: Exif dans vidéo pour nommage automatique (à voir ?). Génération automatique d’une miniature par séquence vidéo (à voir). Pour le moment j'utilise des miniatures avec un logo qui montre que c'est une vidéo. La faiblesse des débits des réseaux imposent des contraintes fortes sur les vidéos. Il faut hélas en limiter la qualité. Une seconde contrainte qui part de la necessité de ne pas attendre la fin d’un chargement d’un fichier vidéo pour le lire, impose de transformer les fichiers vidéos AVI en un format de video type streaming dont FLV d’Adobe. Pour visualiser la situation actuelle de ce que je fais, voici un exemple d’enchainement de contenus. Cliquer sur la miniature de gauche et regarder les enchainements. Il y a 3 vidéos enchainées les unes à la suite des autres et une photo. |
Exemple de trois vidéos enchainées:
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Points positifs: Les vidéos sont dans une position verticale ou horizontale (comme les photos sans contrainte). On peut panacher des formats vidéos de différentes origines.
Points négatifs: Il n’y a pas de transition entre photo et vidéo ni entre vidéos. Le commencement du téléchargement d’un second contenu attend la fin de l’affichage du contenu précédent. Notes: L’animation sur le thème du carrousel est externe à la vidéo: C’est du code Javascript qui est ajouté à la vidéo. On voit que le montage est dynamique c’est à dire réalisé au moment de la création de la page web. Les titres sont également externes à la vidéo. Ceci offre l’avantage de pouvoir les modidier avec le temps. Note technique sur le code: le code HTML des page web est généré automatiquement en fonction de la requette de l’utilisateur. Le générateur PHP donne un code HTML qui n’est pas lisible (tout est regroupé). Pour rendre lisible le code HTLM des pages de l’exemple a été néttoyé (le code des boutons est simplifié au maximum) et le code a été remis en forme afin d’essayer de respecter au mieux la convention d’indentation de l’HTML. A titre de comparaison voici ci-dessous la visulisation suivant la méthode de la playlist. C’est la méthode classique de présentation des vidéos sur des sites web type YouTube. |
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