Le fossé humide du parc Martin Luther-King (photo prise avant un orage en mai 2008). Le fossé humide du parc Martin Luther-King :Sur l'un des cotés du parc il y a un long fossé humide. Ce bassin accueille des plantes qui vivent dans l'eau ou sans eau en fonction des saisons. Lefossé humide est alimenté naturellement par les eaux de pluie. L'éolienne permet de réguler les eaux pluviales.Un second bassin dit bassin biotope accueille une végétation aquatique dont des nénuphars. La gestion de l'eau est un sujet important pour le Parc. La gestion environnementale et paysagère de l'eau. Au parc des Batignolles, l'eau est déclinée sous diverses formes. Si la place des jets d'eau a un objectif purement esthétique et ludique, les autres éléments liés à cette thématique permettent d'allier développement durable et aspect paysagé tout en créant de riches écosystèmes. Le grand bassin paysager (3 000 m2;), dit bassin biotope, est composé de deux plans d'eau qui présentent un triple intérêt : - L'eau non potable alimente le premier bassin et transite par un déversoir dans le deuxième. Les plantes aquatiques qui s'y épanouissent permettent une décantation et un filtrage naturel de l'eau qui, une fois épurée, sert de complément pour l'arrosage du parc. D'autres bassins et une cascade complèteront ultérieurement ce dispositif ; - C'est un bassin particulièrement esthétique, planté d'espèces végétales aquatiques. - Un écosystème aquatique varié et une faune particulièrement riche (canards, poule d'eau, araignées d'eaux, libellules, poissons) s'y développent. Le bassin contribue ainsi au développement de la biodiversité à Paris. 
Le fossé humide au printemps (mai 2019). 
Le fossé humide (ci-dessus en juillet 2007) longe l'allée menant de l'entrée Lemercier au Bâtiment de la Forge, possède lui aussi un triple intérêt : - Il recueille les eaux de pluie ruisselant sur la moitié des surfaces minérales du parc, l'excès d'eau du fossé étant redirigé vers une cuve de stockage. Une éolienne pompe mécaniquement l'eau du bassin biotope pour apporter un complément en période sèche ; - Il offre un paysage qui varie à chaque saison, composé de plantes de milieu humide, comme l'iris, le roseau, la salicaire, le carex. - Il crée un écosystème de type humide, milieu rare dans les jardins parisiens. Cet hiver, une nichée de canards, probablement venue du square des Batignolles, a vu le jour en bordure du fossé humide, pour aller grandir dans le bassin biotope. 
Le Parc Clichy-Batignolles, rue Cardinet Paris 17eme. Le fossé humide en septembre 2009 soit trois mois après l'ouverture du parc.
Autour du fossé, les arbres dont chênes, merisiers et tulipiers ont pris racines. Une pelleteuse a permis de replanter des arbres qui ont déjà 10 ans d'age. Les plantations ont trouvé également leur place : graminées, buissons de rhododendrons, magnolias, hostas et cerisiers du Japon. 
Le fossé humide (mai 2019). Le cours d'eau accueille une végétation aquatique dont des nénuphars. Ce bassin biotope est alimenté naturellement par les eaux de pluie. L'éolienne permet de réguler les eaux pluviales. 
Le fossé humide du parc Martin Luther-King (panneau de la fête des jardins 2018). 
Le circuit de l'eau dans le parc: Le fossé humide du parc Martin Luther-King (détail du panneau de la fête des jardins 2018). 
Panneau d'explications sur le fossé humide. 
Le fossé humide en septembre 2010. 
Le fossé humide du parc Martin-Luther King en janvier 2017.
Le fossé humide en mai 2016. 
Le fossé humide en hiver (janvier 2019). 
La fin de l'hiver. Le fossé humide dans le parc Martin Luther-King (mars 2019). 
Le fossé humide tout en verdure (juin 2018). 
Entretien des espaces verts dont du fossé humide du parc Martin-Luther-King (juillet 2018). 
Le fossé humide en automne (novembre 2018). 
Le fossé humide au printemps (avril 2019). 
Le fossé humide au printemps au niveau de l'entrée du parc du côté rue Cardinet (fin avril 2019). 
Le fossé humide au printemps (mai 2019). 
Le fossé humide, côté rue Cardinet, en été (juillet 2019). 
Le fossé humide en automne (octobre 2019). 
Le fossé humide du côté nord du parc avec ses roseaux (octobre 2019). 
Le fossé humide du parc Martin Luther-King (fin octobre 2019). 
Le fossé humide quelques jours avant le confinement lié au coronavirus (mi mars 2020). 
Le fossé humide après des fortes pluies au début de l'hiver. Au second plan, la rue Cardinet (21 décembre 2020). 
Le fossé humide après des fortes pluies avec des canards en profitent pour barboter (21 décembre 2020). 
Le fossé humide sous la neige (le 16 janvier 2021). 
Le fossé humide sous la neige. Au dernier plan, la rue Cardinet (le 16 janvier 2021). 
Le fossé humide après quelques jour de pluie (le 4 février 2021). 
Le fossé humide (11 mars 2021). 
Le fossé humide (31 mars 2021). 
Le fossé humide (mai 2021). 
Le fossé humide après des fortes pluies (juillet 2021). 
Le fossé humide après la pluie (juillet 2021). 
Le fossé humide (mars 2024). 
Le fossé humide (avril 2024). Pour aller dans le détail du fonctionnement du fossé humide, vous pouvez télécharger une étude sur le Rainwater Management (pdf 5 Mo, étude de 2020). En complément voir, la gestion de l'eau dans le parc.
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